DURAND, c’est l’héritage et la fierté d’un nom, l’histoire d’une famille soudée par l’amour du métier, un savoir-faire et une expertise dans le recyclage transmis de génération en génération pour faire renaître la matière et valoriser l’environnement où nous vivons. L’entreprise familiale est fortement enracinée sur le territoire où elle travaille et s’applique à constamment le mettre en valeur.
Tout commence à Nîmes en 1902.
Vieux chiffons, laines, papiers journaux, vieux fers… l’arrière grand-père Durand, herboriste, récupère et valorise tout ce qui peut l’être.
1928 : la naissance des établissements Durand.Tout commence à Nîmes en 1902.
Le fils Louis Durand reprend l’affaire en 1914. C’est à la fin des années 1930, le 2 janvier 1928 que naissent les établissements Durand, dépôt de chiffon, papier et métaux, dans le centre-ville de Nîmes. Le métier se veut difficile et très peu mécanisé, la fonte était cassée à la masse et au burin.
L’effervescence d’après-guerre.
La Seconde Guerre Mondiale se termine, la sidérurgie réclame des quantités importantes de ferrailles pour assurer la reconstruction ; la profession de récupérateur est alors en pleine effervescence et connaît un essor conséquent.
Une nouvelle ère commence…
Yves Durand, homme discret et respecté de la profession, succède avec son frère, à son père. Dévoué entièrement à son entreprise et soutenu par son épouse Isabelle ; son audace et ses qualités de gestionnaire permettront sa croissance. Depuis 1975, Durand est installé dans le Sud-Ouest de Nîmes dans la Z.I de Saint-Cézaire.
La 4ème génération de dirigeants.
Didier Durand, fils de Isabelle et Yves, rejoint l’entreprise en 1986. Travailleur acharné et omniprésent sur le terrain ; son sérieux, ses compétences reconnues dans la profession ont grandement contribué à son développement. Sa soeur, Béatrice Durand, alors orthodontiste, portée par l’amour de cette entreprise, change de vie et rejoint la société en 2011. Tous deux incarneront la quatrième génération de dirigeants, passionnée par son métier.
Pour l’amour de l’art…
Quelques années après l’arrivée de Didier Durand dans l’entreprise, le sculpteur marseillais César Baldaccini (à droite) renouvelle son art par ses compressions de plaques métalliques et de morceaux de carcasses de voitures récupérés dans les casses.
En 1989, il réalise « La compression de voitures », en public, dans l’entreprise Durand Récupération. Il choisi certaines carrosseries pour leur texture et leurs couleurs et détermine la place des pièces métalliques dans la presse hydraulique avant de les écraser. Il en résulte alors une sculpture géométrique monumentale, dressée à même le sol comme une stèle, dont une multitude de détails arrêtent le regard.
Il en fait don en 1990 au Musée d’Art Contemporain CARRÉ D’ART de Nîmes, que nous vous invitons à découvrir.